Attendre le train,
une valise en carton à mes pieds,
Sur le quai d’une
gare déserte,
Attendre une autre
vie une autre caresse sur mon cœur déjà
fripé,
attendre que l’oiseau
vienne chier sur le crâne du chauve,
le chauve qui vend
des bombons à l’angle de la rue.
Et attendre toujours
attendre
Pourquoi attendre les
autres ?
©christiancazals
Éditions
Traces Compagnes
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