suivi de la présentation
des éditions Post-Apollo Press
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Etel Adnan fait depuis les années 60 des
petites peintures à l’huile où des plages de couleur pure, travaillées
au couteau ou à la spatule, s’imbriquent les unes dans les autres dans
la plus grande simplicité. C’est une surface où soudain apparaissent des
convergences, des divergences, des horizons, des collines, des dunes
peut être, des lacs ou des étendues d’eau, des soleils rouges. Ou plus
exactement la silhouette, le profil, la trace de ce que je viens
d’énoncer, car il n’y a dans ces tableaux ni ombres, ni reliefs tendant à
donner l’illusion d’un paysage. Est-ce abstrait ? Sont-ce vraiment des
paysages ? Oui et non. Ce sont plutôt des expressions franches et
directes d’un sentiment devant le paysage.
[...]
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