LA FISSURE |
Le doigt glisse le long des cannelures, épouse la forme rectiligne marquée dans la pierre par le coffrage des roseaux, ainsi se fabriquait la voûte de la salle, immense et froide, du château haut perché dans les nuages.
La fissure rompt l'harmonie de l'ensemble, la main épouse le contour, pénètre, comme elle pénètre le corps quand il s'ouvre.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire