Christian Cazals, Carole Guillen, Sylvianne Maïkoouva et Corinne Sauffier. | |
Si les poètes prennent parfois
quelque distance par rapport à eux-mêmes, et à ce qu'ils éprouvent
c'est que les parcours, leurs sensibilités, les empêchent de se prendre
tout à fait au sérieux.
C'est parfois un clin d'oeil discret, ou une rupture volontaire de
l'illusion qui fait présentir au lecteur toute l'exaltation qui les
anime, tout comme les romantiques accordaient leurs sentiments aux
tableaux variés de la nature. Une variété de ton, qui permet au lecteur
de passer de la réalité à la rêverie, de la description lyrique à la
réflexion philosophique. | | | |
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