Une lutte en moi.
La muse qui sommeille et
surveille mes écrits
elle dont les agissements
sont au cœur de mes pensées
ne me laisse pas en paix.
La lyre
tenue à bout de bras
est l’instrument de ses
connaissances qu’elle dispense en poussière étoilée
sur mon visage et dans mon
cœur.
Je sens un voile lumineux.
c’est une longue caresse
et le cœur fatigué
se déplie et chante.
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