Transit, le roman
d'Anna Seghers et divers textes de Walter Benjamin - c'est en allemand
que furent écrites quelques unes des plus belles pages sur Marseille, au
siècle dernier, à l'époque du pont transbordeur. Un allemand de
voyageurs et d'exilés, une langue libre, une langue séduite et accélérée
par les rues de la ville qui s'ouvrait sous leurs pas.
À la lecture d'extraits de ces textes s'ajoutera la lecture d'un texte «
en forme de poème » dans lequel je reviens sur mon rapport à
l'Allemagne - du moins à cette Allemagne-là.
Jean-Christophe Bailly
In ' ' ' Le Cahier du Refuge ' ' ' 233 |
mardi 30 septembre 2014
C.ipm
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