La fille de
l’orpailleur.
Le ruisseau.
en torrent énergique
des flancs de la
montagne
qu’elle gravit tous
les matins
jusqu’au lac de
montagne,
les truites éclairs
argentés,
se baigne nue dans
l’or des roches éternellement secouée par le gave.
LE GAVE
qui se précipite dans
la vallée,
claque les fessiers
albâtres,
le sexe en pâmoison,
un ventre aux formes
pleines.
Ce sont les cris des
chercheurs d’or
quand l’eau rejaillit
sur les branches
basses des saules émerveillés.
Il y a des traces de
pas sur le sable de la berge.
Plus loin l’herbe est
foulée,
les branches des
buissons brisées.
Plus le chant du
grillon.
©CHRISTIANCAZALS
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